Alors qu’il n’est qu’un pauvre mioche Il tâte déjà de la pioche Et d’autres outils tout aussi Qui lui provoquent du souci Dont une fourche et quelques bêches Aux dents dures un peu pimbêches Qui ne mordent que par beau temps Et c’est pourquoi il aime tant Sa pelle Qui sur le petit caillou glisse Grâce à son demi-cercle lisse Aussi plat qu’est rond le ballon Au bout de son manche en bois long Qui ramasse toute la terre De ce sol riche excédentaire Nourrissant riz, haricot, mil Ici dont sait Harry comme il S’appelle.