C’est à pleurer (ou à mourir de rire) Quand entrent sous mes cils le mal écrire Et après avoir lâché mon effort, Je lis en chanson Brassens et Paul Fort.
En fermant les yeux je vois une image Dessinée par le poète en ramage Avec un talent tel qu’il me permet de contenter ma tête de vermet.
Alors défilent des scènes de rue Dans ma pensée pleine d’idées en crue, De garçonnets sur des chevaux de bois Et c’est du petit-lait frais que je bois.