Germain disait bien je suis le petit Nouveau Qui mettra son dos sur le ventre de sa mère Un jour où le tombeau montera d’un niveau Pour accueillir un autre et ni vache ni veau N’iront brouter là où la terre s’agglomère.
Se dira aux petits-fils ici c’est mémère Qui porte son enfant jusque dans le caveau Alors qu’une voix de païenne ou de commère Répandra qu’une garce est la vie éphémère Qui n’a pas dans la tête une once de cerveau
La vie donne à la mort le soin d’unir les corps Qu’elle a laissé pourrir par volonté obscène Bien qu’elle s’amusât autour de beaux décors Avec une harmonie belle et de beaux accords En laissant l’acte de mère-enfant dans la scène
Germain descendant du vivant de l’éocène Tourna le dos à sa mère sans son accord En sachant que l’ordre ne fut pas un mécène Assistant le petit nouveau dans le record De battre la vie pour marier son décor.