J’ai tenté d’écouter une harmonie moderne Jouée avec des sons plombant une chanson Ravissant mon âne bête à manger du son Jouant à la jument dans un champ de luzerne.
J’ai osé mirer une œuvre contemporaine Dont le menton était entré dans le nez droit Et j’ai décidé, en artiste assez adroit, De lustrer un portrait de ma gente peau reine.
J’ai tenté de lire un très moderne poème Ecrit aussi bien qu’est mal traité l’animal Laissé dans un coin et dans un soin minimal Qui réclame la main douce que sa peau aime.
Yohanân, tu devrais te mettre près du mètre Pour comprendre que tu ne peux le dépasser Lui qui, debout sur pied, te verra trépasser, Ecrasé sous un vieux muet applaudimètre.