De la pluie, du vent, de la pluie, du vent Et la pluie infinie qui punit le bitume, Cogne à la vitre et laisse un trait fin d’amertume Et le vent savant la lance en avant.
Et la pluie s’abat sur le parasol Qui, privé de soleil ainsi que les ombrelles, Apprend cet élément en regardant les brelles Glisser comme le vent au ras du sol.
Et le lac reçoit encore son eau Et la flaque et l’étang, la rivière et le fleuve, La mer et l’océan veulent bien qu’elle pleuve Et chante le vent dans ce beau tableau.