Les temps sont arrivés et il va disparaître Alors que viennent les temps juste d’arriver Mais il a décidé de ne pas se priver De s’en aller pour ne plus avoir à paraître
Pendant des années il s’efforçait de river Ses yeux silencieux dans les mots bleus du traître Qui lui avait promis un maître à transparaître Sa divine beauté avant de dériver
Pour lui plaire il s’était huilé d’essence rare Et avait cru que les temps nouveaux étaient là Sans cage à koala sans balle de curare
Où les dauphins étaient des Mehdi Mettela Nageant éperdument dans une mer nouvelle En chantant avec une anguille et sa civelle.