Quand le matin vient j’écris ma chronique Dans le journal lu par deux riverains Qui sont enclins aux efforts souverains Tandis que les gens français Macron nique Celui-ci a un souci c’est Monique Qui mange sans dents chaque président Et un Jean Valjean qui est résident D’une maison de retraite où fornique Ce misérable à l’âge respectable Avec une dame en fauteuil roulant Dont la libido est indétectable Chers lecteurs Macron aime le croulant Aussi gentil que lui et sa Brigitte Lui dit qu’il est sain que la vie s’agite.