Ah quel mauvais peigneur de cheveux en arrière Et plus quand ceux-ci sont plus fins que des cheveux Qui sur la tête font une longue carrière En rendant fous les doigts de ce coiffeur nerveux
Il n’a qu’à les faire glisser sur le visage En couvrant en partie le front et ses sillons Et se dira que ce garçon à la vie sage De celui qui n’a pas usé de faucillons
Ah quel mauvais coupeur de cheveux de derrière Ne sachant pas les fendre en charmants dégradés A l’instar du soldat qui heurte la barrière Abaissée après qu’il a tué des gradés
Il n’est franchement pas doué pour le rasage Ni la mise en plis prise avec des croisillons Sis au haut du chef sur les côtés cet usage N’est pas de mise chez nos amis oisillons.
L’histoire est d’avoir ces poils sur un promontoire Dominant fièrement les grands et les morveux Qui craignent par une pensée prémonitoire Un coiffeur qui ne les prend pas pour des cheveux.