Vous habitez une maison privée d’étage Et vous vivez selon vos besoins naturels A l’aide d’un cœur et d’une âme intemporels Epargnés du souci de gloire et d’héritage
Ne peut prétendre chez vous à un sauvetage Rien d’autre qu’un modeste espace culturel Où vos légumes sont un soutien corporel Pour qui veut souffrir à mourir dans l’ermitage
L’éternel chapeau de paille est ami-habit Avec la veste en serge ô mon Pierre Rabhi Que tu aurais mis pour ne franchir qu’un passage
Mais comme un Franciscain l’a dit tu as compris Qu’ici ta vie est si riche qu’aussi compris Est le prix consenti à ton gratuit pas sage.