Ne t’abandonne pas si elle t’a quitté A la douleur qui tue suite à tant de souffrance En sachant que ton cœur est vivant d’espérance Et si tu le comprends tu seras acquitté
La quotidienneté s’était habituée A te laisser penser que tu serais lié A elle jusqu’au jour où tu as oublié Que la vie par la mort finit toujours tuée
Pour l’instant tu n’es pas encore moribond Et la vie ne va pas rester dans une impasse Bloquée tétanisée par ton front furibond
Regarde celle-ci si jolie et qui passe Avec un lys aux dents une fleur de printemps Hèle-la siffle-la elle a juste vingt ans.