A chaque fois se met qu’elle nue t’es là Comme par hasard joyeux voyeur lubrique Et tu la voudrais œuvrer dans ta fabrique De ce devenu chocolat Nutella
Elle ne casse pas une molle brique Ni ne taille son habit au coutelas Mais quand elle se dévêt écoute-la Rire et consacre-lui toute une rubrique
Tu la vois chez toi plus qu’à poil dans un pot Prêt à la lécher sans user de cuillère En laissant sa peau sans trace ni dépôt
Te regardera de travers l’ouvrière Usinant pour toi en gonflant fesse et sein Sans nourrir pourtant un dégouttant dessein.