Par ma cage à oiseau posée sur le plancher Je jure que mon chat gris pense de passer En fermant l’œil pour ne pas voir le volatile Que j’ai remplacé par la mère Thénardier Qui a dû l’attraper et le manger vivant Alors que je l’avais réservé à la cage Protégeant les exclus, les craintifs, les timides Les souffrants dépensant leur argent en prison Qu’ils ont laissé dehors par peur d’être volé Comme mon oiseau bleu qui s’était envolé Par la porte laissée ouverte et l’horizon Lui parut si loin et plein de zones humides A franchir en voyant des grand champs le saccage Perpétré sans gants par le dernier arrivant Qu’il revint chez moi et me dit vous me gardiez Avec des bons soins mais chacun est versatile Dit merci puis suffit et veuillez repasser Je sens mon cœur d’oiseau-zoo prêt à flancher.