C’est vrai, c’est comme ça, oui, c’est comme ça qu’il S’enferme, l’âme ferme, au fin fond d’un sac ; il A du mal, l’animal, a du mal à l’ouvrir Au moment, Ô maman, où il craint de mourir.
Raffiné, confiné, il voulait l’atmosphère Pure autant - pour longtemps - que cet air qu’il préfère Ecouter ; écoutez : « je suis dans un ballon A l’écart de lascars pleins d’étrons au talon. »
Mais, enfin, mort de faim, il sort et une brise Arrivée, parfumée de frais, désodorise Le relent emmiellant l’appendice olfactif Réticent, s’il le sent, à l’âcre atome actif.
Ce n’est pas, n’est-ce pas, le postulat de l’homme De laisser s’enfermer – suite à son fécalome - L’amateur, laudateur, dans un sac, un ballon, De parfums non défunts de crottins d’étalon.