Dès l’aurore et jusqu’au soir partout chante L’air de la vie qui passe tout le temps Avec une joie dite si touchante Que la nuit sur son voile noir l’étend
L’air de la vie qui passe par touche hante La libellule étendue sur l’étang Dont la joie de vivre est si attachante Qu’elle plairait à un jeune flétan
La nuit et la libellule ont un air Qui leur va bien et qui les font bien vivre En plaçant au corner Liszt ou Wagner
Qui en ont trop bu jusqu’à en être ivre Car elles ne veulent pas transpirer Mais simplement aimer le respirer.