Je serai pour le siècle un poète inconnu Demeuré prostré dans l’ombre d’un bon génie Après avoir voulu séduire Iphigénie Qui m’a vu dévêtu et n’a vu qu’un con nu.
Je serai donc celui que l’on n’aura pas lu Qui n’aura pu ni su conquérir jeune et vieille Mais je sais qu’il n’aurait – peut-être - pas fallu Que je fusse cocu par Jeanne et Geneviève.