Le soir, avec sa main, il se détend le pied Et le matin, il prend son pied avec Samain Car il est avant tout le fruit d’un être humain Et non d’un lapin nain qui vit dans un clapier
Le lapin prend son pied en grignotant du pain Et se détend le pied en sautant sans compter Sur l’aide de Samain qui n’est pas son copain Sa lapine qui ne laisse pas s’en conter.
Quand l’un met son genou à la hauteur du cou L’autre un peu rigolard se tape sur la cuisse Et chacun se la joue en y mettant le coût
En tentant d’éviter que le triste sort puisse Le priver de la foi qu’il a dans l’estomac A part celui qui croit qu’il imite Thomas.