Ne pas attribuer le vrai prix au riz té S’amuse un Marseillais fana de la rascasse Horrible bête aussi bête qu’une bécasse N’est pas pour le pêcheur une priorité
J’ai cinquante et un ans et déjà ma carcasse Doit être ménagée avec austérité Et la bonne mère dit qu’il serait cocasse Que la vive vécût par solidarité
En Espagne el arroz se laisse cultiver Mais moi si je me plais en méditerranée En restant concentré mais sans trop m’activer C’est pour voir le soir la mer pourpre-safranée
Ainsi se passent les jours dans toute une année Et peu de choses se lient pour me motiver A part la pêche à la rascasse surannée Si j’en crois quelques-uns aimant m’invectiver.