Les châteaux ont laissé partir leurs proprios Chassés par l’envie et la rage De ceux ne pouvant comme eux aller à Rio Pendant qu’ils subissent l’orage.
C’est bien dommage qu’il fasse aussi vilain temps Dans cet affreux pays de France Où le frileux givré en tremblant se plaint tant Qu’apeurée, s’enfuit sa souffrance.