Derrière moi la mort me fait courir En tenant un marteau pour me férir Ou alors un couteau de grande taille Pouvant me faire une très large entaille Et personne ne vient me secourir
Pitié, mon dieu, je ne veux pas périr Avant de voir mon jardin refleurir Et ma femme tricoter chaque maille D’un pull d’hiver
Mon dieu, vous me voyez déjà mourir Quand j’ai tant de maux encore à guérir Alors que je sens la mort qui ferraille Dans mon dos et j’ai bien une trouvaille Arrivée tard qui voudrait me couvrir D’un pull d’hiver.