Tu as créé les monts, les plaines, les vallées Les mers et leur ami le soleil dans le ciel Et tu t’es abstenu du superficiel En laissant l’herbe verte aux côtés des allées
Tu avais en tête un parfait logiciel Qui te fit inventer et lys et azalées Et sont encore tes œuvres inégalées Par tes enfants tournés vers l’artificiel
Tu n’étais pas manchot et ta vue était haute Qui te permit de ne pas commettre de faute Et maintenant tu vois, toi qui étais le Roi
D’un royaume peuplé de chants et de louanges Qu’il ne t’a pas suffi de mourir sur la croix Pour que tes enfants croient que les loups sont des anges.