Se délecter du jus de raisin fermenté Fait monter la pensée et descendre la crainte De l’ennemi qui sans un cri a fomenté Un complot pour un acte sale
Il a uni à un ami agrémenté Le supplice mis sur le banc de la contrainte Où s’est assis un fils inexpérimenté Qui ne sait pas que le sel sale
La pensée n’est plus la vassale Obligée d’accepter quelque enrégimenté Dans l’armée des laissés où règne la complainte Du frustré désireux d’être un peu lamenté
C’est une force colossale Qui s’infiltre et procure un pouvoir augmenté Au dernier méprisé et même à cette sainte Dont l’esprit assoiffé est sous-alimenté.