Du soir au matin Je regarde s'écouler la nuit En une fresque sombre mais claire Car l'esprit se fait lumière en la nuit Elle éclaire de ses idées notre regard Mais Hommes, prenez garde à la profonde mi-nuit! Où même les idées ne sont rien Elles sombrent dans un abîme "néantique" Et lorsque nous allons trouver nos idées Signe d'espoirs perdus et d'acharnement Nous ne trouvons que l'ombre semée en elles Mais noirceur se passe au milieu des étoiles Regardez ces étoiles qui brillent depuis des temps Elles éclairent le chemin des âmes perdues Les sauvant du vide grandissant... Vide grandissant, car se vide aussi l'Univers Plus il croît, plus il perd sa substance À chaque instants, il s'écarte de la singularité premièr Celle qui fut source du temps et de l'espace À travers la surréalité branaire qui forme L'essence de l'infini, du vide, du chaos suprême