Par une nuit de pleine lune, parmi les étoiles de l’univers, on distingue une pierre radioactive aux reflets irisés, à la lumière des aurores boréales.
Sa toute-puissance rayonne telle une supernova évanouie qui rêve dans l’espace.
Ses rayons se déploient sur les toits comme un soleil diamantaire sur la vie.
Elle y dépose son encre arc en ciel, déguise le silence nébuleux, halo de lumière cosmique.
Tel un prince qui trône sur son spectre, son voile vitreux onde sous la paupière météorite du cristal au pouvoir kryptonite.
Sa voie lactée est une émeraude qui caresse la connaissance et éclaire l’espace d’une opale-esssence à la frontière du temps.
L’ange gardien des portes du Paradis calfeutre la clef des âmes, protège l’espace spirituel par la vitre évanescente du secret de l’éternité.