Un Pangolin a traversé la rue pour aller manger, il aurait aperçu un serpent ou bien une chauve souris de l’autre coté de la rue; lui, qui ne mange pourtant que des insectes; avant d’échouer malencontreusement sur le marché de Wuhan?
Comme la Civette, Il aurait demandé une attestation dérogatoire pour avoir le droit de traverser la rue. Malheureusement, Celle-ci n’a pas au le temps de lui être délivrée.
Pourquoi la pangolin devait-il justifier don déplacement? N’est-il pas libre de se déplacer dans la nature à sa guise, lui, qui malgré tous les interdits est de plus en plus braconné?
Il paraît que sa chair est très prisée des braconniers chinois et vietnamiens, que leurs écailles, os et organes sont mêmes utilisés par la médecine traditionnelle chinoise.
Le pangolin n’a malheureusement pas eu le temps de traverser la rue. Il a été mangé! avant même d’avoir eu le temps de la traverser.
Aujourd’hui, c’est l’homme, qui, à son tour ne peut plus traverser la rue. Il ne peut même plus sortir de chez lui pour aller chercher à manger, sans une attestation dérogatoire…
Une attestation dérogatoire qui on l’espère lui sauvera d’avantage la vie que ce pauvre pangolin.
Alors que nous sommes tous sur le point de mourir, Pouvons-nous espérer que les écailles, os et organes de feu pangolin puissent être utilisés en complément de la chloroquine par la médecine européenne pour soigner l’homme du covid?
C’est le moins que nous pouvons espérer! Pour le plus : je conseille de surveiller d’avantage nos assiettes!