Un soir, une nuit fraiche comme celle-ci , Ou le vent souffle et caresse – la chevelure des arbres Je pense, A ma victoire – jour de gloire,
Ou l’amour me prendra, Me bercera, m’attendrira A ce moment précis de ceux recit, ma destine s’accompplie
Mes espoir aussi brilliant que l’astre, Qui depuis ce jour ma guider, ma relever Les femmes sont mysterieuse, Et ne savent pas leur destine, ni leur dessein
C’est pour cella qu’il faut les forger En trouvant l’ame – son Coeur A mes risqué et perils,
Aussi leger que le vent – je pars Dans les pays lointain, decouvrir le monde Et ses remparts. Dans le but de trouver ce que l’espece humaine Nomme le Bonheur – la vie.
Une lueur parvient de l’ombre Aveugle, soudain – je prend peur, Et je sens la chaleur D’une chaire – Qui m’envoutent
Mon Coeur – conquit, je palpite Car cette ombre qui me fait la cours Et me propose son amours
Je ne peut que la lui donner, A cette Ombre – cette Femme, Que je ne connait guere, Mais cette sensation intense Me paralyse, Quel Bonheur !
Enfin t’ai je trouver, La Beaute qui couvre ses terres Et ses vaste etendue d’eau – les mers Maintenent je part querir mon Bonheur Accompagne de ses ombres – cette femme