Si, Icare est ici dans le crépuscule ivre. Comme un pari (perdu ?) il tente son vol fol : Chute. Appels. Cris et mort. Cadavre sur le sol. Nombreux ceux qui essaient mais peu peuvent le suivre.
Voleter c’est mourir. Volette et c’est le Styx, Seul compte le violent, le choc abrupt, abrupt. Pour voir les feux, couleurs de l’archéoptéryx T’emplir les yeux, brûler, seul vaut le choc abrupt.
Mais peu le savent. Et peu le disent ceux qu’ignore Le destin et que la vérité assassine. Celui qui chante et non, non celui qui pérore.
Seuls, ils sont seuls et seuls ils aspirent à être : Pas d’yeux amis, ni d’ombre sœur, d’âme voisine. Sont-ce des feux ? Des fous ? Des pulsars ? Non ! Des prêtre