Tu as tout Il a tout Nous avons tout à craindre Vous avez tout Ils ont tout Des aspérités de l’asphalte. Je, erre sur l’infini Des bas-côtés de cette route, Pleurant il, enlevé Canon sur la tempe Vers un antre autre Où l’on a su Où l’on voit Où l’on dira peut-être. Les autres, Rien. Des conducteurs de véhicule Que certains croiraient, A tort, sans passeur. Il est là, toujours désincarné, Avide de porte-âmes : Vous.