Toi qui tout les jours est prier, Toi qui dicte qui doit exister. Toi qui les hommes a créé, Toi qui choisi lesquels emporter. Ceux qui non plus le droit de vivre Sur cette misérable terre. Sache toi grand patron, Vénéré par une multitude de con. Que jamais je ne te respecterai ! Impossible pour moi de te prier, Car a mes yeux t’es q’un sale enfoiré Un soir tu ma lâchement tuer. Toi créateur de la guerre, De la maladie, de la misère. Toi qui repend tout plein de saloperies, Sur ton beau nuage tu prend les paries. Toi qui a un gamin de neuf ans, Un père tu as supprimé lâchement ! Jamais je ne te pardonnerai, Se jour m’avoir assassiné…
Toi qui ma un jours permis, De trouver se que je croyais, Etre la femme de ma vie. Celle qui ma ressuscitée, Celle qui pour chaque jours je respiré, Celle que je voulais épouser. Elle que tu as meurtrie, Qui, je suis sur en souffrira a vie. Sache que tu ma tuer ! Un jour de l’avoir laisser, Dans les bras d’un autre aller. Jamais je ne te prierai ! Tu n’en vos pas la peine, Tu n’es que source de haine ! Dieu le soit disant éternelle, J’te frais bien goûter de mon opinel ! Mais tu n’auras jamais les couilles, De venir me montrer ta bouille. Comment je pourrai croire, En ta putain d’salope d’histoire…