Le paradis sur terre existe, Sur quelques îles altruistes Qui offrent au voyageur L'oubli du monde et de l'heure, Et la mer, et le vert des arbres luisants, Et le ciel bleu et le sable blanc.
Le temps et les heures sombres Là bas s'évanouissent à l'ombre Des grands arbres et les fleurs Ramènent la vie, éloignent la peur De la fin de ta vie. Il n'y a ici, Pas de place pour la maladie.
Puisse le vent porter ton sourire, Les senteurs que tu respires, D'île en île, à fleur de mer. Les vagues bleues dans leur lumière Les oiseaux blancs, le rouge corail Ne veulent pas que tu t’en ailles…