Une caisse aux gestes d’enchanteresses A, en laisse, mes faiblesses Et cela blesse mon altesse Qui fait une messe pour ma tristesse. L’allégresse de cette caresse Met ma sagesse en paresse Et je me laisse, sans cesse, Empesté par ces deux pécheresses Qui affaissent ce qui m’agresse Et je les laisse sur une esse. Je suis sans cesse Celui qui se berce Et celui qui se délaisse Car tout perce et me blesse.