Faux amis, meilleurs ennemis, Tout ceci rime en ‘i’. Ce ‘i’ qui est pourri, Brisant cette nuit sans bruit. Pitié de ces ‘i’ affamés, Petits sont leurs sons égarés. Irrésistible envie de lui, Meurtri par ce cri affaiblit. Cette nuit personne ne m’entendit Et, sans un pli, je partis. Je suis pourtant si petit Dans cette vie de grands esprits, Immenses âmes en prison, Stupides et pourtant sans raison. Milliers de plis en pensant à lui, Ma vie ne tient plus et je le nie.