Une femme Un trésor Un vœu exhaussé Par le souffle de la providence Un secret chuchoté Je n’ai jamais connu ses bras La tendresse dans son geste Je ne sais d’elle que sa voix et sa beauté céleste
Dans un rictus Unifiées Les deux rives de la méditerranée Et l’orient cristallisé dans un sourire luminescent. Dans son œuvre le créateur s’est surpassé Ce jour qui a vu naître celle qui occupe mes pensées.
Mon inspiration Une femme Qui malgré les morsures du passé Ne saurait de tristesse se laisser submerger Ne saurait s’interdire la liberté de penser
Ce qu’elle est Grâce Ce qu’elle est Force Ce qu’elle est Passion féroce Ce qu’elle est rouge lueur Crépusculaire douceur
Et ces hommes Tous secrètement amoureux En est-il un seul capable de dompter le feu? Précieuse est la pierre nullement parce que taillée Elle l’est dans son essence Pureté des temps premiers
Une femme Un regard Un sourire Une larme Ce n’est qu’à ses pieds que je veux déposer les armes Brisée, ma forteresse sous le poids de la raison Ce n’est qu’à ses côtés que j’entre en rémission
Une femme Un refuge Volcan endormi La vie coule en elle comme une source chaude Que j’aimerai de ses entrailles entendre le cri