J’aurais voulu te voir danser tous les matins Onduler comme catin, faire tout pour me revoir Ton sourire qui minaude, j’y colle vite un patin Déjà je te sens chaude sous tes longs cheveux noirs
Ta peau douce de satin attise ma maraude Très vite je te taraude, nus devant le miroir Tu en perds ton latin pourtant tu chantes une ode Tu cries : “mon dieu, le god !” au moment de t’asseoir
J’ai juste peine à y croire ne veut pas que ça foire Le plaisir est atteint, septième ciel palatin Je rêvais de t’avoir, je n’osais plus y croire Mais trêve de baratin, je te tourne comme tatin
Tu vas voir ma ribaude où je place ma costaude Vise le mille et te hâtes, hein ? Ne me laisse pas choir J’empoigne tes tétins leur donne des chiquenaudes Tu es sous mon pouvoir car je sais t’émouvoir…