Le Père, seul, connaît le secret de la chanson Mélodie de ta vie, chantée en un éclair… A chercher en vain le sujet de la leçon, Tu perds la nostalgie, ainsi que tous repères
La belle place au soleil se dérobe en gravats, Il s'achève ton temps et c’est universel Pour chacun c’est pareil, pas comme tu le rêvas… Qu’importe les printemps, dans ce fou carrousel.
Gaïa et ses volcans ne pleure pas les vivants Papillons éphémères si assoiffés de sang, Se trouvent dans tous les camps, c’était pas mieux : “avant”
Toujours, pleurent les mères, qu’il soit, Un, deux, ou trois Le fils, le trafiquant, l’espoir si captivant, Soudain ! Les trois par terre, le pauvre, le riche, le roi...