Tu caches ton visage, je me demande pourquoi? C’est ton corps qui questionne ? As-tu peur de vieillir ? Accoster ton rivage, d’un petit air narquois Apprivoiser la lionne qui s’apprête à bondir…
L’élégance de ton bras quand il épouse tes courbes Égale tes cheveux noirs en souplesse et langueurs Ton fatal wonder bras ! Dieu comme Amour est fourbe Provoque sous mon peignoir, un désir sans censeur
Je me prends à rêver, Lyna, dans ces poèmes Un jour me parlera, elle voudra me séduire Sans jamais m’entraver et je ferai de même
Tout le plaisir est là, à se laisser conduire Par les mots sans chevets et lancer des “Je t’aime” Bien que fière comme Héra, sache ne pas m’éconduire…