Absolument carmines, telles des fraises tagada Les boucles brunes en bataille sont lianes accroche-coeur Si tu savais gamine, comme j’en suis flagada ! J’ai des lacunes canailles, en conquêtes des coeurs
Je t'aime par décret, prescrit sur ordonnance Tel est mon bon plaisir, n’attend aucun retour Je l’avoue mon regret, mon âge quand j’y pense Ce mystère des désirs qui vous viennent à rebours
Mon clin d’oeil, chère précieuse, à lire entre les lignes Tu te reconnaîtras, couleurs du “Tapageur” De Jean Lurçat, rieuses, ton élégance soulignent
A mon tour patatra ! Ton sourire ravageur Me cueille délictueuse et mon coeur en trépigne Et dans tout ce fatras, mes vers sont chats p'harder...