Tes bras pour seul collier, avide de tes baisers J’ai besoin de tendresse, ainsi que de douceur Dispense tes caresses, comme si j’étais une fleur Nos promesses d’écoliers, ne sont pas choses aisées
Et tout recommencer, incertaine sentence Nos vaisseaux ont brûlés et la tasse est salée Ne pas capituler, c’est être ensorcelé Déverse chère Circé, un philtre de romance
Et jure moi, maints délices, sur couche de satin Si j’effleure tes cuisses avec délicatesse Ce ne sont que prémices à un bonheur certain
Retiens moi, tel Ulysse, ma chère enchanteresse De quelques doux supplices, de ton art de catin… Je me ferai complice, te “dérider les fesses”…