Il en faut de la place, solitude pour étrennes Contempler Dieu en soi, parvenir au silence Alors quand elles se lassent ne soyons pas en peine Du temps que l'on reçoit du fait de leur absence
Regain de liberté et de tranquillité Peinard pour mes lectures, mes estampes, mes peintures Et ne rien regretter de cette sincérité Se complaire en luxure, plonge en déconfiture
Alors je dis merci à la vie, ses hasards Rencontres improbables de la carpe, du lapin Pénombres puis éclaircies, du génie, du bizarre
Volte-face moins affable en écharpe, mon grappin La musique adoucit, les relents du bazar Je ne suis pas coupable, si ça sent le sapin...