J’avais semé, futile, quelques petits cailloux Espérant vous revoir, me suivre au bout du compte Mais c’était sans savoir, tout ce que l’on raconte De vos atouts périls, lesquels me font voyou !
J’avoue je suis tactile, pour plaire à vos genoux Ma tête comme écritoire ma langue comme seul acompte Frisson jubilatoire parcours l’outil de ponte Votre bouton érectile aime le broute-minou
Hélas mon pauvre fou ! Poète au doux babil N’as tu donc jamais honte ? Que valent tes au revoir ? Pour moi seul le vit compte, reviens à tes devoirs
J’espère un mastodonte, biroute sur quoi m'asseoir Je veux crier au loup ! Mon Dieu qu’il est habile ! Or toi mon pauvre chou, ta fièvre est juvénile...