A nul autre pareil est ton sourire vermeil Tes cheveux sont d'ébène, jugez qu'elle est ma vaine Ta douceur fait merveilles, c'est ton chant qui m'éveille Mon coeur bat dans mes veines quand il te sait sereine
Au lever des désirs et pour ton seul plaisir La transe et la danse de mes reins en cadence Elle te fera rougir et peut-être même gémir Si j'ai de la chance et que tu me fais confiance
Pardonne la liberté de mon ton enfìévré Les mots me viennent en rêve quand Morphée cherche son Ève Ma nouvelle puberté, cinquantaine énervée
Je recherche sans trêve quelle sera la relève ? Sauras-tu me guider ? Peut-être m'encourager ? Si ton coeur est en grève, où se trouve la fève ?