Mystérieuse femme aux traces d'enfance dans les yeux Votre poésie me bouleverse autant qu'elle appelle Tandis que mes feuilles mortes se ramassent à la pelle Je sais la solitude de votre intelligence
Fi des regrets ! Réjouissons-nous de la rencontre ! De nos deux âmes habitées par la joie de Dieu De vous avoir pour muse rendrait mon ciel radieux Ne répondez pas trop vite, pesez pour et contre
Car les dialogues courtois sont amours en esprit En plus de la distance je veux ajouter l'âge Pour ne conserver que les mots, tel est le prix
Farah je vous dédie ce sonnet et voudrais Apprendre à prononcer votre prénom "la Joie" Nombre de mes attentes ce beau mot résoudrait