La poussière s’amoncelle en chaque coins de ma tête Je ne suis que fugaces élancées vers l’uni Toutes mes peurs sont parcelles et indices d’une enquête Ralentie mais sagace, poète étrange, puni
Et j’ignore si tu m’aimes, ce qui te plaît chez moi ? J’ai perdu tout espoirs, ressasse mes souvenirs Et tous ces matins blêmes…sous un ciel qui larmoie Je voudrais te revoir, seule, peux tu revenir ?
Marcher main dans la main, enfin goûter tes lèvres Pleurer sur ton épaule toutes ces années perdues Penser aux lendemains, réaliser un rêve
Tel un chanteur de Soul aux “Please, please” éperdus Rompons les parchemins de nos foyers en grève Fuyons loin vers les pôles, on a trop attendu…