Un amour d'enfance m'est revenu à tire-d'aile Et le temps d'un été, j'ai vécu un enfer Mon coeur d'amadou à brûlé, de suite, pour elle A l'hirondelle j'ai crié : "laisse donc le vent faire" !
"laisse toi porter, doucement à mes côtés" Mais la belle est toujours, un oiseau migrateur De pull elle ne veut pas, avoir à tricoter "hirondelle, mon coeur n'est pas un horodateur
Si tu t'en vas encore, cette fois c'est fini" Vous me croirez ou pas mais l'hirondelle à ri Et en deux trois coups d'ailes, elle est repartie
Me voilà attristé à contempler les cieux Pas un jour ne passe, sans une supplique au bon dieu L'espoir vit, l'hirondelle ne dit jamais adieu