La femme dans ma tête est une confidente Et quand je suis rêveur, je fonds dans ces bras ronds Lors, finis les tempêtes et les humeurs violentes Car j'ai la bouche en coeur tout en adoration
Mesdames soyez jalouses, je lui picore le cou La nuque et les épaules, sa peau est la plus douce Et je n’ai pas de blues, ne porte aucun licou Je ne joue pas un rôle et mes manches retroussent
Pour une exploration, complète de son corps Mes doigts se font caresses, la couvrent de frissons Mon admiration ne va plus aux pécores
Sans cervelles, les fesses sont de vrais hérissons Repoussoir des passions, impossible raccord Mais fini la détresse, rêvons à l’unisson…