Mais quels sont ces remous ? Écume dans ton sillage ? Des regards dérobés, des brasiers de clins d'œil ! Que cherchent ces yeux doux ? Si ce n'est le pillage ? Te voilà enrobée, sans même que tu le veuilles…
Cadence de ton fessier ou sous ton chemisier, Tes dunes et tes sillons attirent l'attention. Pour peu que vous laissiez, tout comme le cerisier Vos fleurs faire impression, donner de l'émotion
Vous voilà, douces femmes, chaires devenues des proies. C'est là l'exploit des courbes de la ligne fluide, Des corps sur les infâmes, les hommes ces maladroits.
Ah! Nous serions bien fourbes de nier, pauvres stupides, Le désir qui fend l'âme, la flamme à votre endroit. Nous autres "sang de bourbe" et vous beautés limpides…