Retrouver le silence d’une marche solitaire Seul le chant des oiseaux et le vol d’un héron, Dans le soleil s’élancent. Restent au sol les vipères… Perçues dans les roseaux les poules d’eau font des ronds
Quelques pêcheurs méditent loins des foyers bruyants C’est la paix intérieure conquise de hautes luttes Hors les murs d’Aphrodite aux propos ennuyants Pour nos vies ultérieures, souhaitons meilleures chutes.
Où est la perle rare ? A la lèvre sans reproches ? Amoureuse du silence et des regards complices ? Nous marcherions peinards sans la moindre anicroche,
Adieu les exigences que ma mine assombrissent… Je te veux sans retard et la lune décroche Où es-tu élégance ? Que mon rêve s’accomplisse