J’aime cette étrangeté, ces visions dérobées L’appétit du voyeur pour la poitrine féconde Fugace dextérité vers les mollets galbés De clichés orpailleurs pris en quelques secondes
Par des yeux attentifs aux plus jeunes pelages Comme aux rides pleines de charme, l’apaisement du regard Concentré et captif, “plein la vue” dit l’adage Car leurs courbes sont des armes, la moelle des amants
Vouloir les enlacer, ce désir nous immole Eperon de nos coeurs et les larmes ruissellent De nos coeurs lacérés par toutes ces idoles
Ici point de vainqueurs, surtout des étincelles Des lèvres à embrasser, nulles Dianes chasseresses, folles Solitaire liqueur et douleurs résiduelles…