J'ai envie, de faconde, d'accents de nos terroirs, les patois, les créoles, toutes ces langues d'autrefois, de nos aïeux, tintantes, chantantes, bouleversantes d'amour, d'herbes pays et d'humanité.
La musique, les paroles de la cuisine où l'on fabrique la pâte à gâteau, le fournil et son pain craquelant, le pain perdu dans sa crème et le labeur dans les champs et les chants dans les "coups de main".
Résonnent les tambours, sifflent les binious, vibrent les accordéons, virevolte la musette.
Montez plus haut, les voix de nos ronds points. A ça ira que vienne la fête...