Nous voilà à distance. Telle le chat, roux, tigré Elle a griffé mon coeur, patte velours acajou Certes sans élégance, mais dois-je la dénigrer ? Elle est ma muse rancoeur, elle jette le sapajou
Alors j’écrirai seul, car besoin de personne Et l’amazone rousse, la guerrière de posture N’aura pas mon linceul, car je m’en tamponne Comme elle, le vent me pousse, de tout je fais bouture
Je vais vite l’oublier, cette vilaine sorcière Car je préfère en rire, il n’est d’amie qui tienne Je sors mon bouclier et ma roue de l’ornière
Les sangsues, les vampires, sont toutes des comédiennes Miroirs et poudriers camouflent des poissonnières ! Jamais de repentir pour ces hollywoodiennes....