Coincé sur mon sofa, par l’arthrite, la vieillesse Je m’évade en pensées et sort par la fenêtre La vie cadenassée par l’écran du paraître Et chacun le “Beauf” affligeant, de crasse paresse…
Tous de toc, de vinyle, nos sourires en photo, De figées solitudes, sans chaleur, nos jardins Un tissu d’habitudes, aux rayures de gredins. L’escapade d’un sénil lassé d’être robot,
L’âpreté du crayon est un effet d’échelle. La rancoeur en rayons pour ce monde trop cruel Tapisse comme le lierre, nos visages délabrés.
Angoissée fumerolle, recherche le désir Dans les vapeurs d’alcool, s’estompent les plaisirs Aujourd’hui , moins qu’hier, de champagne à sabrer…